Dans vos pérégrinations diverses et variées dans les salles obscures, il y a parfois des films que l’on va voir car il n’y a que cela qui passe, ou parfois juste par simple curiosité, ayant vu une bande annonce ou simplement une ligne ou deux dans le journal ou sur le web.
On ne s’attend pas forcément à un chef d’œuvre, et parfois on peut être agréablement surpris, mais s’attendait-on à voir un mauvais film, un film qui aussitôt vu serait à mettre aux oubliettes ?
Avez-vous eu de telles expériences au cinéma, faites-nous partager ces moments, et n’ayez pas peur de dire le nom des films, car ici comme ailleurs, dans ce 21ème siècle, nous n’avons pas peur des mots !
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Il était une fois donc, alors que j’allais au cinéma, n’ayant pas d’autre chose à faire, et quand on voit de grandes affiches, on est souvent tenté !
Et là, en fait, j’ai été forcé, c’était avec l’école, au lycée ! Ah, pourquoi avoir pris cinéma/audiovisuel si ce ne sont pas les élèves qui choisissent leurs films ?!
« Des noms, on veut des noms ! »
Et bien, c’est simple, c’est
Comme une image, qui à part la fille de Josiane Balasko m’a laissé bien de marbre. Réalisée par Agnès Jaoui, dont je n’avais pas accroché déjà à sa premier film
Le goût des autres, j’étais sage comme une image lors de la séance où j’ai rencontré Morphée quelques instants ! En plus, la fille qui veut être chanteuse de choeur, et en plus de ça Jean-Pierre Bacri, le père de l’histoire, ne veut décidément pas nous faire un sourire !